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vieillissement.L’Exposition aux Champs Electromagnétiques (ECEM) – une pollution électronique f aible, créée par leséquipements électroniques et les systèmes f ilaires de nos bâtiments – augmente les inf lammations etaf f aiblit notre système immunitaire. L’ECEM abaisse également le taux de mélatonine, une hormonerégulatrice du sommeil.La première étude publiée sur l’Energie-TerreDans le cadre de la première étude d’Ober, Groundingthe Human Body to Neutralize Bio-Electrical StressFrom Static Electricity and EMFs, publiée en 2000 dansle journal ESD, il a choisi 60 sujets avec des douleursmusculaires et articulaires et des problèmes desommeil. Tous les sujets présentaient une tensionmoyenne de plus de 2 volts, créée par le courantélectrique qui traversait leur corps.Ils ont été divisés de f açon aléatoire en deux groupes:un groupe relié à la terre et un groupe de contrôle nonrelié à la terre. Les champs électriques des deuxExe mp le d e c o nne xio n à la te rre d ’un d rap p ar le b iais d efils e n arg e nt. Le d é ve lo p p e me nt d e c e s tis s us p rit 3 ansgroupes étaient comparables, ceux du groupe dee t d e mand a un millio n d e d o llars .contrôle étaient un peu plus f aibles. Les sujetsdisposaient tous d’alèse de matelas en f ibre decarbone avec un f il relié à la terre hors de la chambre. Pour 30 des sujets, le f il était connecté à la terre, cequi a réduit leur champ électrique à 10 millivolts voire moins en moyenne durant leur sommeil.Les résultats f urent probants pour le groupe relié à la terre. Au réveil, ce sont 100% des sujets reliés à laterre qui se sont sentis revigorés. Les trois quarts étaient soulagés de leurs douleurs chroniques et 80%étaient soulagés de leurs raideurs musculaires.Personne dans le groupe de contrôle n’a été soulagé des douleurs musculaires ou articulaires, mais troisd’entre elles ont ressenti une amélioration dans toutes les autres catégories. Le groupe relié à la terre aaussi rapporté des soulagements concernant les af f ections respiratoires, les syndromes prémenstruels,les syndromes d’apnée du sommeil et l’hypertension.Earthing: The most important health discovery ever? est un récit f ascinant des recherches simples à f aiblecoût. Le livre est accessible à des personnes de tous âges.Comment les habitants des villes peuvent-ils f aire s’ils ne veulent pas se noircir les pieds en marchant dansles rues pieds nus? Comment pouvons-nous nous relier à la terre, si nous vivons dans un gratte-ciel ?Ober a mis au point des draps, des tapis et même des claquettes pour se mettre à la terre.Puis il y a également cet article :Se pourrait-il que la civilisation « hors-sol » dans laquelle nous vivons aujourd’hui redécouvre quel’essentiel de ses maux dits de « civilisation » n’auraient pour principale origine que notre déconnexiond’avec la terre ? C’est la soudaine inspiration qu’a eu Clinton Ober en 1998, assis sur un banc dans un parcde Sedona en Arizona, en observant les pieds des passants qui déf ilaient devant lui Tous étaientéquipés de baskets, sandales et autres chaussures de marche avec des semelles en caoutchouc ou enplastique. Comme dans les dessins animés, une ampoule s’illumina alors dans sa tête. Et Clinton de seremémorer que dans son ancien business de câbles, la mise à la terre des systèmes électriques était unprincipe de base af in d’éviter toute interf érence des champs électromagnétiques extérieurs. Il réalisa ainsique toutes les personnes qui déf ilaient devant ses yeux étaient isolées de la terre. Il se posa alors laquestion qui allait changer sa vie : « Est-ce que le f ait de porter des chaussures dont la semelle estisolante af f ecte notre état de santé ? ». ( )

Quelques repères scientifiquesEn 1975, le biophysicienallemand Fritz Albert Popp,conf irmait que toutes lescellules vivantescommuniquent entre ellesainsi qu’avec le mondeextérieur par l’intermédiaire designaux électromagnétiquessubtils. Ces signauxélectromagnétiquescohérents appelésbiophotons transportentl’inf ormation nécessaire àl’organisation de la vie de lacellule et des organismesvivants.Les pollutionsenvironnementales, et plusparticulièrementélectromagnétique etradioactive, peuventpotentiellement tordre etperturber ces signaux deQ uatriè me d e c o uve rture d u livre « Bio lo g iecommunication cellulaireaf f ectant ainsi lemétabolisme.Pourtant dès 1928, le Pr. Charles Laville écrit : « le bon équilibre et lasanté des tissus organiques passent par la conservation de l’électronégativité du sang ».Louis-Claude Vincent nous met en garde dès 1950 sur les ef f etsnéf astes de la charge du corps en ions positif s qui f avorisent ledéveloppement des dérèglements cellulaires.Aujourd’hui, le changement de notre mode de vie avec la télévision, lesordinateurs, l’automobile, les téléphones portables, etc. ne f aitqu’accroître cette surcharge en ions positif s et en radicaux libres, due àla pollution électromagnétique, qui perturbent notre vie organique auxniveaux moléculaires, cellulaires, biochimiques et physiologiques. Toutnotre métabolisme s’en trouve af f ecté.d e la Lumiè re »Comment éliminer les effets de cette pollution ?La seule solution connue à ce jour pour éliminer l’excès d’ions positif saccumulés de manière journalière sous f orme d’électricité statique, est deles écouler vers la terre.Le Earthing, la mise à la terre ou la négativation permettent de lutter ef f icacement contre les perturbationsélectromagnétiques en dérivant à la terre les surcharges qui perturbent le f onctionnement cellulaire. Cetécoulement des ions positif s du corps à la terre d’une manière douce et sûre permet une ré-harmonisationde l’organisme. ( )Concrètement, que fait le Earthing ?Les observations et la recherche ont présenté les avantages suivants dans le cas d’une reconnexion à laterre :

Désamorce la cause d’inf lammation et améliore ou élimine les symptômes de beaucoup de troubles liés àun état inf lammatoire. Réduit ou élimine des douleurs chroniques. Améliore la qualité du sommeil dans la plupart des cas. Augmente l’énergie. Réduit le stress et f avorise le calme dans le corps en raf raîchissant le système nerveux et les hormonesde stress. Normalise le rythme biologique du corps. Fluidif ie le sang et améliore la tension et le f lux sanguin. Soulage la tension musculaire et les maux de tête. Diminue les symptômes hormonaux et menstruels. Accélère f ortement la guérison et limite la f ormation des escarres. Réduit ou élimine le jet lag. Protège l’organisme des perturbations induites par les champs électromagnétiques. Accélère la récupération après des ef f orts intenses.Quelques compléments d’informations extraits de l’ouvrageL’inf lammation est la cause de presque toutes les maladies. Les conditions de vie moderne augmententgrandement l’inf lammation, que ce soit par l’alimentation, la pollution de l’air, le stress et le corps neparvient pas à se déf endre car on l’empêche de se rétablir par un contact avec la terre. Ainsi de nombreuxf acteurs viennent s’ajouter jusqu’à ce que le seuil critique soit atteint.De plus, des expériences dans une chambre souterraine ont montrées qu’être isolé du champ électrique dela terre dérègle les rythmes du corps : température, sommeil, production hormonale, etc. La régularité deces cycles devient chaotique. « Quand les rythmes électriques comparables à ceux mesurés à la surface dela Terre furent pulsés dans la coque en métal entourant la chambre souterraine, il y eut un rétablissementspectaculaire des rythmes physiologiques normaux. »Ainsi, en étant déconnecté de la Terre, non seulement nous laissons libre cours aux radicaux libres, maisnous déréglons aussi tout notre organisme.Les animaux et les hommes « extraient » d’habitude cette « nourriture » énergétique du sol par la plantedes pieds, qui est humide. Cette humidité, qui n’est pas un hasard, aide au transf ert des électrons. (A noterque même s’il est mieux d’être pieds nus, les chaussettes en nylon ou coton laissent passer le f luxd’électron car elles sont humidif iées par les pieds). La plante des pieds est également riche de plus de 1300terminaisons nerveuses par pouce carré. C’est plus que dans toute autre partie du corps de taillecomparable.Le problème est que notre environnement est pollué par des champs EM (produit par les appareilsélectriques notamment). Ceux-ci augmentent le potentiel dans notre corps. Se rendant compte de cela, ClintOber est allé mener des études pour savoir quels ef f ets cela produirait d’être relié à la terre. Il décrit dansson livre ce parcours du combattant, sans aucun soutien des autorités médicales.Clint Ober parvint alors à publier sa première étude, concernant l’ef f et sur le cortisol, l’hormone du stress.Le cortisol est lié au système nerveux sympathique, qui s’il est activé trop souvent augmente l’inf lammation.Clint Ober f ut surprit des excellents résultats de la connexion à la terre qui « resynchronisa la sécrétion decortisol à son rythme naturel et normal » (le cortisol est le plus élevé à 8h du matin et le plus bas à minuit).De plus, l’étude montra également une élévation de la mélatonine, qui agit aussi comme un anti-oxydant.Le cardiologue Steve Sinatra était quant à lui déjà

Le cardiologue Steve Sinatra était quant à lui déjàconscient de l’importance de la nutrition (coenzymeQ10, carnitine, magnésium ) et avait remarqué le lienentre activité solaire, pleines lunes, et angines etpoitrine et arythmies. C’est ainsi qu’il en est venu àl’électromédecine. Ce qui n’est pas étonnant, car lecoeur utilise des signaux électriques pour sonf onctionnement. Steve Sinatra rencontra Clint Oberaprès son étude sur le cortisol et le stress.Steve Sinatra comprit que l’inf lammation chroniqueétait la cause principale des maladies artérielles (ceque Rudolph Virchow avait déjà comprit en 1800, bienavant l’arnaque des statines et le mythe ducholestérol). Steve cherchait donc à trouver desmoyens de réduire l’inf lammation. Les radicaux libresétant des molécules ayant une charge électriquepositive, il f aut donc stopper la destruction qu’ellesgénèrent dans le corps. C’est comme éteindre un f euavant qu’il ne se transf orme en incendie.Ap rè s tro is minute s d e mis e à la te rre , le s g lo b ule sro ug e s mo ntre nt un c hang e me nt s p e c tac ulaire . Elle s s o ntp lus fine s e t mo ins ag g lo mé ré e s (d o nc le s ang e s t p lusfluid e , le s ang e s t mo ins « ke tc hup »). Plus le s ang e s té p ais , mo ins vite il c irc ule . Le s c e llule s d u c o rp s o nt d o ncmo ins rap id e me nt l’o xyg è ne e t le s nutrime nts e s s e ntie ls .Se lo n une é tud e d e G ae tan Che valie r, Ph.D., le p o te ntie lz ê ta e s t aug me nté d e 270% à la s urfac e d e s g lo b ule sro ug e s . Le p o te ntie l z ê ta p as s e d e -12,5 à -5,3 millivo ltse n mo ye nne , c e q ui lui p e rme t d ’ê tre p lus fluid e . La mis eà la te rre c hang e le mé tab o lis me à un nive au c e llulaire .L’é le c tro mé d e c ine p o urrait ê tre la mé d e c ine d u futur.Steve Sinatra indique plus loin qu’il lui a f allu 30 anspour comprendre que l’AT P est très important pour lecoeur. « Toute forme de maladie cardiovasculaire doitse baser sur le rétablissement de l’approvisionnementen adénosine triphosphate (ATP). » L’AT P est lecarburant qui permet aux cellules de f onctionner et dese réparer. L’AT P est produit dans les mitochondries.Les électrons dans la cellule contribuent à la production d’AT P. Les coeurs en mauvaise santé ont un déf iciten AT P.L’inf lammation permet au corps de se déf endre depathogènes, de cellules endommagées, etc. Parl’inf lammation, le corps cherche à détruire des agentsnocif s pour ensuite pouvoir guérir la zone atteinte.C’est le corps qui produit des radicaux libres pour« brûler » (oxyder) les micro-organismes envahisseursou les tissus endommagés. En volant des électronsaux pathogènes ou tissus endommagés, la réactionimmunitaire détruit ces f auteurs de trouble. Celaproduit gonf lement, rougeur, douleur, etc. Mais cetteréaction saine du corps devient incontrôlée quand iln’y a pas assez d’anti-oxydants pour f aire cesser laréaction immunitaire après la résolution du problème.C’est l’inf lammation chronique.L’inf lammation chronique est liée à de nombreusesmaladies : les allergies, la maladie d’Alzheimer, lasclérose latérale amyotrophique, l’anémie, l’arthrite,l’asthme, l’autisme, le cancer, les maladiescardiovasculaires, les dif f érents types de diabètes, laLa the rmo g rap hie (imag e rie infraro ug e )p e rme t d ’o b s e rve r la te mp é rature d e la p e au p o urd é c e le r le s ano malie s ré vé latric e s d e tro ub le s e tp atho lo g ie s . L’ac tio n d e s é le c tro ns d e la te rre s ur lec o rp s e s t ne tte me nt vis ib le ! La p ho to d e d ro ite e s t p ris e3 minute s ap rè s une c o nne xio n à la te rre .

cardiovasculaires, les dif f érents types de diabètes, laf ibromyalgie, les troubles intestinaux, les problèmesde reins, le lupus, la sclérose en plaques, lapancréatite, le psoriasis (que le Dr. Sinatra a soignéchez lui par l’ »earthing »), l’eczéma En se reliant à la Terre, les électrons négativementchargés prennent le dessus sur les radicaux librespositivement chargés. Le cytosquelette des cellulestout comme leur environnement (collagèneconducteur) f orment une « matrice vivante » (voirJames Oschman et Albert Szent-Györgyi) qui f ournitun réseau corporel pour les électronsantioxydants. La conductivité relie aussi la peau auxorganes.Cas d ’une fe mme ayant d e s d o ule urs à la c uis s e , aug e no u, e t tib ia p o ur la jamb e d ro ite , e t à la c he ville d uAvec la mise à la terre, quand il y a inf lammation, il n’yp ie d g auc he . L’imag e mo ntre l’e ffe t d e la c o nne xio n à laa pas de f orte augmentation des globules blancste rre (à d ro ite ).comme dans ce qu’on pense être une réactioninf lammatoire normale. Au contraire, il y a une légèrediminution des globules blancs, ce qui montre qu’il n’y a quasiment pas d’inf lammation. Cela laissesongeur est-ce que la réaction inflammatoire qu’on pense normale est en réalité anormale, et dueà notre isolation à la terre ? Les sujets mis à la terre montrent tous une récupération très rapide, avecune douleur moindre. Ces sujets sont également protégés des ef f ets mutagènes des radicaux libres, quialtèrent l’ADN et interf èrent avec l’activité enzymatique normale.Roger Applewhite, ingénieur électricien, a publié uneétude en 2005 sur le potentiel électrique induit dans lecorps par les champs électromagnétiques à 60 Hz. Il adémontré qu’une mise à la terre f orme une sorte de« bouclier » protecteur. Sans cette mise à la terre, lesélectrons et autres particules chargées réagissentaux champs électromagnétiques présents dansl’environnement immédiat, produisant des perturbationqui ne sont pas naturelles. « Ce que la majorité despersonnes ne réalisent pas, c’est que si vous dormez àcôté d’une lampe, d’un réveil électrique ou d’une radioprès de votre lit, le champ électrique s’étendra depuisles fils jusqu’à votre corps, même si les appareils sontéteints. » Les mesures par voltmètre montrent qu’unechambre à coucher est habituellement à 3,3 voltspour les sujets testés avant la mise à terre, puisde 0,007 volts en moyenne après.L’e ffe t p arap luie d e la mis e à te rre . « Votre corps tout entierest en contact électrique avec la surface de la Terre. Votre corpsest un relativement bon conducteur. Votre peau et la surface dela Terre font une forme continue ayant le même potentielélectrique. » Le s inte rfé re nc e s é le c tro s tatiq ue s e té le c tro mag né tiq ue s d e l’e nviro nne me nt s o nt d o ncannulé e s p ar le s é le c tro ns ve nant d u s o l.L’électromyographie (EMG) etl’électroencéphalographie (EEG) montrent aussi que lamise à terre inf lue beaucoup sur l’activité électrique du cerveau et des muscles, en moins d’une demiheure. Des changements spectaculaires sont même observés 2 secondes après la mise à la terre. Unchangement se produit dans l’hémisphère gauche du cerveau, la mise à terre semble ainsi apaiser lef onctionnement « rationnel ». Les sujets connectés à la terre ont également un type d’oscillation jamais vuauparavant dans la recherche physiologique : des oscillations extrêmement lentes (entre 20 et 30 secondespar oscillation selon l’individu). La tension des muscles également diminue, et redevient normale. Ilsemblerait donc que la mise à la terre f avorise le système parasympathique plutôt que le mode sympathiquestimulé par le stress.

D’autres éléments montrent l’activation du système parasympathique : la conductance de la peau estréduite en quelque secondes, et l’oxygénation est améliorée par l’accélération du rythme respiratoire et durythme cardiaque. Cela suggère une réaction de guérison nécessitant plus d’oxygène pour f onctionner.Il n’y a pas que la lumière qui interf ère avec l’horloge biologique du noyau suprachiasmatique, dansl’hypothalamus. Il y a aussi la mise à la terre. L’hypothalamus est important car il relie le systèmenerveux au système endocrine par la glande pituitaire, la glande maîtresse du corps. Par sessécrétions hormonales, elle gouverne de nombreuses f onctions corporelles. La glande pituitaire sécrèteégalement une hormone qui va stimuler la sécrétion de cortisol, l’hormone du stress. La réponse au stressf orme donc un axe connu sous le nom d’axe hypothalamique-pituitaire-adrénal.« Nous pensons que la lumière n’est pas le seul f acteur pour la coordination des horloges biologiquesrégulant le f lux hormonal dans le corps. Il y a aussi l’énergie de la Terre. » ( ) « Notre hypothèse généralede travail est que la mise à la terre conduit à une bien meilleure stabilité physiologique car les diversrythmes corporels sont coordonnés non seulement avec le cycle jour/nuit, mais aussi avec tous lesrythmes naturels de l’environnement. »Se connecter à la terre permet donc non seulement de soulager des douleurs, mais aussi de récupérer d’unjet lag. Le livre (chap.10 en particulier) contient de nombreux témoignages positif s avec des cas deguérisons presque miraculeuses. La mise à la terre agit pour : la vieillesse prématurée, l’arthrite, l’autisme(résultats d’une étude cités), les douleurs de dos, l’inf lammation des vaisseaux sanguins,l’électrosensibilité, la f ibromyalgie, la maladie mixte du tissu conjonctif , la sclérose en plaque, la sciatique,l’apnée du sommeil, le stress, les veines variqueuses, la mauvaise circulation, les troubles de laménopause, etc. A noter que la mise à la terre induit parf ois des réactions de détoxication.Un témoignage intéressant est celui de John Gray, auteur de Les hommes viennent de Mars, les femmesviennent de Vénus. Il raconte qu’en Inde, alors qu’il étudiait la méditation, ses prof esseurs lui ontrecommandé de s’asseoir sur une peau de daim directement en contact avec le sol. Ils disaient que l’énergievenait de la terre. Les Yogis conseillaient de dormir sur la terre, ou alors d’utiliser la méthode « royale » :utiliser un drap de lit composé de cuivre relié à une barre enf oncée dans le sol à l’extérieur.Les animaux reconnaissent tout de suite les lieux connectés à la terre qui leur sont f avorables. Les plaiesdes animaux qui vivent dans la nature cicatrisent très rapidement. Et si l’on place un panier connecté à laterre, les chats et chiens préf éreront toujours utiliser celui-là. Une anecdote est également citée à proposd’un cacatoès qui préf érait toujours un perchoir connecté à la terre même si celui-ci n’était pas en hauteur.Lorsque le propriétaire déconnectait la terre, le cacatoès allait de nouveau sur le perchoir le plus élevé.La Terre est le point de réf érence de l’électricité, c’est le

La Terre est le point de réf érence de l’électricité, c’est lepotentiel zéro, le voltage de réf érence, sur lequel tousles autres voltages sont établis ou mesurés. En prenantde l’altitude, on gagne 200 volts par mètre. A plusieurskilomètres d’altitude, l’augmentation du voltage diminueet à 150 puis 100 volts gagnés par mètre. Vers 100 kmd’altitude, l’augmentation diminue.S’il f ait beau, la dif f érence de potentiel électrique serade 250,000 à 500,000 volts entre la ionosphère (ioniséedonc conductrice), et la surf ace de la terre. « Visualisezce système comme étant composé de deux conducteurs,l’un à zéro volt (la terre), et l’autre à 250,000/500,000volts à une altitude d’environ 100 km. »Quand il f ait beau, il n’y aura pas beaucoup de transf ertd’électrons entre le sol et le « ciel ». Ce sont les nuagescumulonimbus (il y a environ 1,000 à 2,000 orages dansle monde en permanence), qui permettent de f aire le lien.Il existe un cycle de l’électricité comme il y a un cycle del’eau.Au second étage d’un immeuble, il y aura déjà unedif f érence de potentiel de 1000 volts entre les pieds etRe c o up e me nt ave c un d iag ramme d e Sté p hanela tête (800 volts aux pieds et 1200 à la tête !). CelaCard inaux s ur la taille d u c hamp vital s e lo n l’altitud e .pourrait expliquer qu’une étude récente de l’UniversitéO n re marq ue une aug me ntatio n rap id e d ans le sp re mie rs kilo mè tre s p uis un p ic à 100 km.d’Iowa a montré qu’on a 40% de risque en plus d’avoir unaccident vasculaire cérébral quand on vit dans unimmeuble que quand on vit dans une maison sans étage. Cela pourrait également expliquer pourquoi il y aplus de cancers du poumon en ville qu’à la campagne. En ville, on respire des par

produits Earthing : Navoti, Earthing.com) C'est une agréable surprise que de découvrir la récente traduction du livre « Earthing », de Clinton Ober, Stephen T. Sinatra, et Martin Zucker (avec un avant-propos de James L. Oschman). Ce livre démontre l'importance d'être connecté à la terre : les effets sur l'organisme apparaissent